Jeudi 28 janvier 2016, Paris, FR. ANTI is out, but what is ANTI ?
Petite
remise à
niveau oblige pour les retardataires. Il y a trois mois de cela,
Rihanna dévoilait sur son compte instagram, deux images accompagnées
d'un mot : ANTI. La barbadienne a même donné sa propre
définition du mot. Quelques semaines après ces révélations,
Rihanna dévoile sa tournée mondiale du même nom : Anti World Tour.
Ces deux surprises ne nous ont finalement pas laissé de marbre à
force de teaser et de sortir des tubes qui ne servent finalement
que de justificatifs de présence comme quoi Rihanna est toujours
dans le game and she's still alive. Je cite Bitch Better Have My
Money ou encore American Oxygen. Ces tubes tampons qui auraient pu
introduire son huitième album. C'est finalement en janvier 2016, le
jeudi 28 plus précisément que Rihanna sort sans aucune
pression son huitième album, ANTI. Un album qui en a surpris plus
d'un, dans le bon comme dans le mauvais sens.
Ce que je pense de l'album après 1ère écoute
Je
ne suis pas la seule mais je tiens quand même à remercier Rihanna
d'avoir rendu le téléchargement gratuit et légal sur la plateforme
sectaire TIDAL. Je ne suis pas du tout une spécialiste de la musique, je n'ai pas de disques d'or et ni reconnue internationalement. Je ne fais que donner mon avis.
BAD
: L'album est composé de 13 titres (disponibles ci-dessous) avec une
ambiance plutôt posée que je déteste presque. On dit que Rihanna
prépare la sortie de sa marque de cannabis et en y repensant,
l'album le reflète parfaitement. Globalement, les instrus sont
plutôt pas mal mais manquent certainement d'un dernier coup de "boum
boum" afin de rendre le tempo plus entraînant.
Ma
déception s'est multipliée à la fin de l'écoute de l'album car
Rihanna n'a pas du tout mis en avant sa voix. Elle s'est contentée
de ronronner des couplets aussi fadasses les uns que les autres en ne
se basant seulement que sur ses acquis. En écoutant Consideration
en feat. avec SZA, je m'attendais à un bouquet final des deux voix
du style "Ah tiens, là elle va faire un beau truc... attends
attends c'est là. Ah finalement non". Aucune des deux ne s'est
donnée la peine de clôturer ce titre en beauté qui avait pourtant
si bien commencé.
GOOD : Cependant, l'album contient deux petites perles que j'écoute en boucle. Desperado et Work feat. Drake m'ont totalement plu. Desperado est un reflet auditif de la sensualité mélangée à sa voix velours. Le rythme est dosé pile comme il faut pour séduire. Work est quant à elle une bonne composition dans l'ensemble. Drake s'est bien approprié la chanson et je ne vois pas qui aurait pu le remplacer. Comme on dit, "jamais deux sans trois" - Throwback What's my name et Take care.
Conclusion : D'un point de vue globale, Rihanna a pris des risques et c'est ce qu'un artiste doit faire pour évoluer et tester de nouvelles choses. Quant à la stratégie marketing de la sortie de son album, on ne sait pas non plus quoi en penser car elle reste floue. Sortir des tubes à gauche à droite peut nous faire saliver d'envie mais quand la sortie de l'album se fait tarder, il n'y a plus de surprise et on se dit "ouais". D'impression pessimiste, il se peut qu'il existe une lueur d'espoir dans mon discours. Pas de panique ! Je vais réécouter l'album et prendre du recul. Il n 'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. Je suis une Navy avant tout.
GOOD : Cependant, l'album contient deux petites perles que j'écoute en boucle. Desperado et Work feat. Drake m'ont totalement plu. Desperado est un reflet auditif de la sensualité mélangée à sa voix velours. Le rythme est dosé pile comme il faut pour séduire. Work est quant à elle une bonne composition dans l'ensemble. Drake s'est bien approprié la chanson et je ne vois pas qui aurait pu le remplacer. Comme on dit, "jamais deux sans trois" - Throwback What's my name et Take care.
Conclusion : D'un point de vue globale, Rihanna a pris des risques et c'est ce qu'un artiste doit faire pour évoluer et tester de nouvelles choses. Quant à la stratégie marketing de la sortie de son album, on ne sait pas non plus quoi en penser car elle reste floue. Sortir des tubes à gauche à droite peut nous faire saliver d'envie mais quand la sortie de l'album se fait tarder, il n'y a plus de surprise et on se dit "ouais". D'impression pessimiste, il se peut qu'il existe une lueur d'espoir dans mon discours. Pas de panique ! Je vais réécouter l'album et prendre du recul. Il n 'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. Je suis une Navy avant tout.
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